Déceler, comprendre et vaincre la Dépendance Affective
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Je m’appelle Valérie, et je sais aujourd’hui que je suis dépendante affective.
Je vis avec mon compagnon et je lui ai fait vivre « l’enfer ». des exemples j’en ai plein.
En voici quelques uns : j’étais à peine rentrée du bureau, je n’avais même pas encore ôté mes chaussures ôtées ni même le manteau, que j’allais direct sur son ordinateur voir l’historique des sites qu’il avait consultés pendant la journée.
Lorsqu’il était au téléphone, il fallait absolument que je sache qui c’était tellement j’avais peur que ce soit une femme, enfin plein d’exemples.
Des traumatismes de l’enfance et de l’adolescence ont engendré ce comportement de « dépendante affective ».
Manque de confiance en moi, peur de tout, que l’on ne m’aime pas, que mon homme ne m’aime pas, peur de le perdre et peur de moi-même, essayer de plaire à tout le monde, de nombreux sentiments négatifs que j’ai entretenu pendant des années.
J’ai eu le déclic de cette découverte de la dépendance affective parce qu’un ami m’a envoyé par mail un livre que j’ai dévoré en 3 jours, tellement ça me parlait. .
Dans ce livre, on y explique ce qu’est la dépendance affective, les solutions et le vécu de l’auteur.
Une fois de plus, j’ai espionné mon chéri. Il s’est aperçu de cette dépendance, mais je ne l’aurais jamais écouté. Il m’en parlait gentiment, mais il ne me disait ce qu’il ressentait au fond de lui. Je l’ai donc poussé à me faire les reproches qu’il avait au fond de lui depuis quelques temps. Je vous avoue que ça m’a fait du bien de les entendre ses reproches, comme s’il fallait que je sois face à mon problème.
Lorsque je l’ai entendu, j’ai eu un déclic. Je me suis dit qu’il avait raison.
Du lundi, je me suis mis au bureau, sur mon ordinateur, j’ai effacé son adresse mail. Car bien sur de mon ordi, je pouvais aller surveiller sa boite mail.
Enfin bref, depuis je vais nettement mieux.
Aujourd’hui, j’ai la joie de vivre, je ne souffre plus dans ma tête, j’ai confiance en moi (bon pas encore à 100 % mais c’est là au fond de moi entrain de s’installer gentiment) un apaisement aussi.
Et avec mon chéri, je ne me prends plus la tête, je le laisse vivre. Je ne l’étouffe plus.
Moi aussi je vis. Il va falloir du temps pour enlever certains mauvais automatismes.
Aujourd’hui pour moi, mon compagnon et mon entourage familial, mes amis, je sais qu’il y a de l’espoir.
L’espoir de vivre en toute confiance. Aujourd’hui je suis MOI. Je vous écris ces quelques lignes pour vous expliquer un peu mon passé, et vous dire à vous qui êtes entrain de me lire qu’il y a de l’ESPOIR.